[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »3.22″ custom_padding= »0px||20px||| »][et_pb_row _builder_version= »3.22″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » custom_padding= »||0px||| »][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »3.0.47″][et_pb_image src= »https://afrik-jeunes.com/wp-content/uploads/2019/08/cropped-WhatsApp-Image-2019-04-02-at-23.18.07.jpeg » align= »center » _builder_version= »3.22.1″ z_index_tablet= »500″][/et_pb_image][/et_pb_column][et_pb_column type= »2_3″ _builder_version= »3.0.47″][et_pb_text _builder_version= »3.22.1″ z_index_tablet= »500″ text_font= »|600||||||| » text_orientation= »justified »]La journée de samedi dernier a été l’apothéose à travers la distribution à Douala des manuels scolaires aux familles des prisonniers incarcérés depuis plusieurs mois déjà . Une initiative qui a été encouragé par de nombreux camerounais et ainsi que les responsables du mouvement pour la renaissance du Cameroun. on dénombre cependant une centaine d’enfants qui ont bénéficié du soutien de la diaspora camerounaise à travers le programme JSK initié par l’écrivain patrice Nganang.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »3.22″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » custom_padding= »11px||12px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.0.47″][et_pb_text _builder_version= »3.22.1″ text_font= »|600||||||| » text_orientation= »justified » z_index_tablet= »500″]Aujourd’hui, l’homme qui fait les urnes des presses camerounaises a initié depuis janvier une forme de tontine appelée programme JSK (jesuiskamto) pour le soutien des enfants des prisonniers politiques arrêtés lors des différentes marches blanches organisées par l’opposant principale Maurice Kamto qui contexte toujours la victoire du chef de l’état Paul Biya à la dernière élection présidentielle du 07 octobre dernier et qui est lui même incarcéré depuis janvier à la prison principale de Yaoundé. Par ailleurs dans le même élan , le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) a volé aussi au secours des enfants de ses militants incarcérés dans les différentes initiatives au Cameroun comme dans la diaspora à travers les différents leaders de la contestation du gouvernement camerounais. Une quête qui s’est étend aux enfants des camerounais incarcérés dans le cadre de la crise anglophone. Et plus largement au maximum d’enfants qui du fait de la guerre ont perdu leurs parents ou dont les parents n’ont plus de moyen pour les scolariser. L’homme qui ne cache pas son aversion et son franc parlé pour le gouvernement camerounais et détesté par une communauté qu’il dénonce chaque jour sur sa page officiel pense qu’un soutien aux prisonniers du MRC pourrait encourager d’autres militants à descendre dans la rue et ainsi, forcer la main au gouvernement de libérer tous les détenus de ce parti.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »3.22″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » custom_padding= »4px||9px||| » custom_margin= »-15px|auto|-11px|auto|| »][et_pb_column type= »2_3″ _builder_version= »3.0.47″][et_pb_text _builder_version= »3.22.1″ z_index_tablet= »500″ text_font= »|600||||||| » text_orientation= »justified »]Dit-il :« Si la communauté laisse ces personnes-là, on va dire qu’on a laissé des personnes être enterrées seules alors qu’elles avaient de la famille», l’excentrique écrivain américain qui a toujours lutter pour la cause de la communauté anglophone qui fait face à une guerre civil qui est la plus négligés au monde faisant état de plus de 2000 morts des deux camps coté civils, comme combattant anglophone et des forces de sécurités d’après les autorités camerounais, mais qui pour lui( l’écrivain américain Patrice Nganang) représente un génocide qui se fait actuellement en terre camerounaise d’après ces déclarations et les preuves qu’il détient.
[/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »3.0.47″][et_pb_image src= »https://afrik-jeunes.com/wp-content/uploads/2019/08/1084025-patrice-nganang.jpg » align= »center » _builder_version= »3.22.1″ z_index_tablet= »500″][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »3.22.1″ custom_padding= »11px||11px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.22.1″][et_pb_text text_orientation= »justified » _builder_version= »3.22.1″ text_font= »|600||||||| »] Patrice Nganang fait partir de cette génération née dans l’enfermement. On lui a assené une claque chaque fois qu’elle a questionné l’ordre des choses, on l’a même sevré de l’histoire de la guerre civile qui eut lieu de 1958 à 1971. Rappelons que jusqu’à ce jour l’écrivain et intellectuel américain d’origine camerounaise se réclame de vouloir revenir dans son pays d’origine depuis son expulsion à cause de son soutien à la cause anglophone et de son franc parlé. A ce sujet, il a toujours dit que l’écrivain est du côté des plus faibles, comme Soyinka, son modèle et son maître, qui fut incarcéré au Nigeria pour s’être insurgé contre la guerre du Biafra.
Loic Gabin K
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